mardi, février 05, 2008

L’ASSEMBLEE PARLEMENTAIRE DE L’OTAN CLOTURE UNE SESSION ANNUELLE(1/10 octobre 2007) LARGEMENT MARQUEE PAR LA RUSSIE ET L’AFGHANISTAN

La session, qui se tenait à Reykjavik, s’est achevée le 10 octobre 2007 sur un appel à un surcroît d’efforts pour consolider le rôle de l’OTAN en Afghanistan et bâtir des relations de travail plus étroites et plus fécondes avec la Russie.








Lors de la séance plénière, les parlementaires des 26 pays membres de l’OTAN ont adopté d’importantes résolutions sur ces deux questions D’autres résolutions touchaient à des thèmes très divers : les parlementaires ont ainsi apporté leur soutien à la maîtrise des changements climatiques, ou encore, demandé une intensification de la lutte contre le terrorisme. Par ailleurs, ils ont salué les activités déployées par les trois « États adriatiques » – l’Albanie, la Croatie et l’ex-République yougoslave de Macédoine[1] – dans la perspective d’une adhésion à l’Alliance.









La séance plénière, qui a eu lieu mardi, a marqué la conclusion de plusieurs journées consacrées aux réunions des cinq commissions de l’Assemblée et a notamment accueilli le Premier ministre de l’Islande, M. Geir Haarde, selon qui « l’Alliance demeure indispensable sur le double plan politique et militaire », même si elle doit s’inscrire dans un concept de la sécurité plus étendu.

« Qui aurait pu prédire les opérations militaires en Afghanistan ? L’aide humanitaire au Pakistan ? L’assistance logistique au Soudan ? Et qui sait ce que demain nous réserve ? » a déclaré M. Haarde, qui a poursuivi : « Un rôle nouveau et élargi pour l’OTAN n’est pas incompatible avec la fonction primordiale de celle-ci, à savoir, la défense collective. »

M. Haarde a également déclaré qu’il n’y avait « aucune contradiction intrinsèque entre une OTAN forte et une politique européenne de sécurité et de défense (PESD) viable » ; il a cependant pressé les pays membres de l’OTAN, dont l’Afghanistan et l’Irak sont pour l’instant le point de mire, de ne pas négliger pour autant les questions d’une importance stratégique que pose le réchauffement de la planète dans l’Atlantique Nord et dans l’Arctique.

« Manifestement, l’exploitation et le transport des sources d’énergie du Grand Nord vont être au centre de l’attention générale, compte tenu des revendications dont font l’objet les fonds marins et de la rapidité des progrès technologiques », a dit le Premier ministre. Le réchauffement climatique permet, pour la première fois dans l’histoire, d’envisager le fameux Passage du Nord-Ouest comme une réalité. Le Canada, pays membre de l’OTAN, a fait part de ses préoccupations devant les ambitions territoriales de la Russie dans la région.

Les parlementaires de l’OTAN ont également rendu hommage au Secrétaire général de l’Assemblée, M. Simon Lunn, qui quittera ses fonctions à la fin du mois de décembre prochain, après avoir passé plus de dix années à la tête du Secrétariat international de l’institution, à Bruxelles. C’est l’actuel Secrétaire général adjoint, M. David Hobbs, qui lui succédera.

Dans une allocution d’adieu, M. Lunn a remercié les parlementaires d’avoir, par leur action, étendu la composition de l’Assemblée aux pays de l’ancienne Europe communiste, à la fin de la Guerre froide. « Nous avons été les témoins de changements gigantesques, et cela a été un privilège de travailler avec vous pendant tout ce temps », a-t-il déclaré sous les applaudissements nourris de l’assistance.


* La Turquie reconnaît la République de Macédoine sous son nom constitutionnel.

mercredi, octobre 10, 2007

Le Secretaire Général, Jaap de Hoop Scheffer parle à Reykjavik 9 octobre 2007 à l'Assemblèe Parlementaire OTAN


Monsieur le Président,
Messieurs et Mesdames les parlementaires,
Chers amis,

C’est avec grand plaisir que je retrouve aujourd’hui l'Assemblée parlementaire de l'OTAN. Mon illustre prédécesseur Lord Robertson a dit un jour que s’adresser à l’Assemblée revenait pour lui à « faire rapport à ses actionnaires”. On ne pouvait mieux dire. Les actionnaires contribuent de manière décisive à la bonne marche d’une entreprise. Ils lui apportent leur soutien, et mobilisent les moyens nécessaires. Pour cette raison, il convient de les associer aux activités qu’elle mène, de les consulter - et surtout, d’écouter les avis qu'ils formulent en toute franchise. De la même manière, nous sollicitons le soutien des parlementaires pour la quasi-totalité des activités que nous menons actuellement, qu’il s’agisse d’approuver nos opérations, de convaincre des collègues législateurs ou d’expliquer à nos opinions publiques la pertinence de l’OTAN.

C’est pourquoi je tiens avant tout à vous dire aujourd'hui que l'OTAN a plus que jamais besoin de votre soutien – car l’Alliance doit relever des défis comme elle n’en n’a jamais rencontré auparavant. Avec plus de 55 000 hommes et femmes sous son commandement, l'Alliance participe à des tâches de maintien de la paix ainsi qu’à des opérations de combat en Afghanistan. Nous maintenons également la paix au Kosovo ; contribuons au processus de réforme de la défense en Bosnie-Herzégovine ; effectuons des patrouilles en Méditerranée dans le cadre d'une mission navale de lutte contre le terrorisme ; et acheminons par voie aérienne des troupes de l’Union africaine au Darfour. Nous avons mené une opération de secours humanitaire au Pakistan. Nous assurons la formation des forces de sécurité iraquiennes et afghanes et envisageons d'offrir nos compétences dans ce domaine à d'autres pays et organisations. Et de nombreux pays ont formé le voeu de coopérer plus étroitement avec l'Alliance, voire de la rejoindre en tant que membres à part entière.

Bref, l’OTAN se trouve placée face à des sollicitations sans précédent, et l’on peut affirmer sans risque de se tromper que celles-ci iront s’accentuant. Pourquoi ? Parce qu’il est certaines choses que seule l’OTAN peut réaliser. Parce qu'il faut, dans les moments difficiles, que l'Amérique du Nord, le Canada et l'Europe agissent à l'unisson. Et parce que ce n’est qu’au travers de l’OTAN que nous pouvons rassembler la volonté politique collective et la puissance militaire collective des deux côtés de l’Atlantique. Voilà ce qui rend l’OTAN unique. Et voilà aussi pourquoi nous ne connaîtrons pas de véritable répit !

Dès lors, la question est simple : pouvons-nous faire face à ces exigences croissantes ? Je crois fermement que c’est le cas, à condition toutefois que nous nous employions à identifier les atouts propices à la réussite de nos entreprises, et que nous restions résolus – ensemble, en tant qu’Alliés – à réunir ces conditions tant politiques que militaires.

Les atouts qui nous permis de traverser sans encombre les années de Guerre froide sont également ceux qui doivent nous permettre de réussir dans un environnement de sécurité désormais fort différent :

Il faut avant tout qu’en tant qu’Européens et Nord-Américains nous restions unis. La voie que doit emprunter l'OTAN sera toujours pavée de difficultés et jalonnée de mises à l'épreuve. Nous devrons donc nous armer de détermination.

Risques et responsabilités doivent être partagés de manière équitable - et nos missions et opérations mettront cette solidarité à l’épreuve de manière cruciale. Comme l’a dit un jour un SACEUR : “Ensemble, du début à la fin."

Nous devons nous doter d’une stratégie politique viable assortie d’un objectif clairement défini, et pouvoir compter sur des forces militaires à la mesure des missions que nous entreprenons.
Enfin, nous devons veiller à ce que l’importance que nous attachons à nos actions soit partagée par nos opinions publiques. Nos électeurs doivent savoir que notre objectif ne consiste pas seulement à aider l'Afghanistan, mais aussi à rendre ce pays plus sûr. Mais aussi faire le combat contre le terrorisme.

Dans six mois à quelques jours près, nos chefs d’État et de gouvernement se retrouveront à Bucarest dans le cadre du prochain Sommet de l’OTAN. Dès lors, ma présence à Reykjavik aujourd’hui constitue selon moi une excellente occasion non seulement de m’entretenir avec vous des divers sujets à envisager dans la perspective de cette rencontre, mais aussi de vous exhorter à maintenir votre engagement sur ces questions dans les semaines et les mois qui viennent. Je compte mettre l’accent sur des questions déterminantes. Certes, cela pourrait sembler quelque peu indigeste pour une seule allocution, mais il est vrai, par ailleurs, que le menu de nos activités est actuellement bien chargé.

Nous devons voir à travers notre rôle crucial pour aider l'Afghanistan à devenir un État stable, démocratique, et bien gouverné nation qui ne sont plus les exportations terrorisme, la criminalité et l'instabilité de ses voisins, de nos nations et le reste du monde. Contrairement à ce que certains veulent nous faire croire, ce n'est pas «mission impossible». En effet, il existe de nombreux signes de progrès, dans un certain nombre de domaines. Le défi devant nous est de renforcer et de soutenir ces progrès. Et là encore, il ya un rôle vital pour les parlementaires, et cette Assemblée, à faire en sorte que nous réussissons.

Notre mission de l'ISAF en Afghanistan est un test crucial de notre solidarité comme Alliés. À la veille de Bucarest, nous devons faire preuve d'un engagement politique constant à notre mission en Afghanistan, mais aussi sous-tendre que l'engagement de ressources suffisantes. La rotation des forces dans le sud du pays est un problème particulièrement pressant que je l'espère, peut être résolue rapidement. Nous ne pouvons tout simplement pas attendre que les Alliés ont pris une part active à y rester indéfiniment. Ils font un travail remarquable et la réalisation d'un lot, mais devrait pouvoir compter sur les Alliés à leur secours à un certain stade.

Nous devons, en même temps, continuer à encourager une plus grande appropriation afghane. Que la propriété doit être responsable, ou il ne sera pas crédible et durable. Et nous devons aussi voir un plus grand effort par les autorités afghanes, appuyées par nous le cas échéant, à mettre un frein à la corruption, la criminalité et le problème des stupéfiants. L'OTAN s'est engagée à intensifier ses efforts pour fournir une formation et du matériel de soutien à l'Armée nationale afghane, et nous devons honorer cet engagement parce que nous sommes en retard. Building up de la police nationale afghane est une autre priorité cruciale qui, je l'espère, et attend, l'Union européenne et d'autres organisations internationales et les nations à s'engager à continuer.

Enfin, bien qu'il y ait eu certains progrès, je pense que la participation de la communauté internationale en Afghanistan reste encore trop parcellaire. Et je suis d'accord avec ceux qui ont suggéré que le Secrétaire général de l'ONU devrait nommer un fort, les hauts envoyé à jouer un rôle de coordination d'abord entre les différents acteurs internationaux et aussi avec, peut-être d'abord et avant tout au gouvernement afghan .. Je ne sais que il n'ya pas encore de consensus sur cela, mais nous pourrions profiter d'un tel émissaire.

C'est vraiment m'amène à la deuxième, la plus vaste question que je voudrais mettre en relief: la nécessité de transformer l'approche globale d'un beau concept dans la pratique établie. Comme je l'ai dit, il ya eu quelques progrès sur le terrain en Afghanistan, mais il ya encore trop peu de coordination, et parfois aussi trop peu de la confiance, entre les différents acteurs militaires et civils. Par conséquent, nos efforts collectifs ne sont souvent pas aussi efficaces qu'elles pourraient l'être.

Je serai le dernier à sous-estimer les difficultés de réunir les différents acteurs internationaux. Nous sommes tous attachés à nos propres moyens, et beaucoup d'acteurs civils effroi, la notion même de travailler en étroite collaboration avec les militaires. C'est leur liberté de le faire ou ne pas le faire. Mais la réalité est qu'il n'ya tout simplement pas d'alternative à une approche globale. Nous en avons besoin en Afghanistan, mais nous avons certainement aussi besoin au Kosovo, au Darfour et ailleurs futures éventualités. Et comme vous avez une grande influence sur la façon dont votre pays fonctionnent par le biais des organisations internationales, ainsi que la manière dont elles coordonnent les efforts de leurs propres ministères de l'intérieur, vous avez contribué à faire de l'approche globale une réalité.

Un élément clé d'une approche globale est un solide partenariat entre l'OTAN et l'UE. Et laissez-moi vous dire encore une fois: nous avons enfin à surmonter l'ambivalence dans les relations OTAN-UE. La plupart de nos membres sont les mêmes, mais nous sommes encore très loin de la ferme, des partenariats stratégiques que nous avons cherché à réaliser. Pendant longtemps, nous avons pensé que ce manque de coopération institutionnelle n'était pas un gros problème, puisque la coopération sur le terrain se passait plutôt bien. Cela peut avoir été vrai en Bosnie-Herzégovine - mais moins dans le Kosovo, et certainement pas en Afghanistan. De plus en plus, l'amélioration des relations OTAN-UE est en train de devenir un urgent besoin opérationnel, et vital pour nos intérêts de sécurité fondamentaux.

Comment pouvons-nous sortir de l'impasse? Al'évidence, il faudra des gras, des décisions stratégiques dans plusieurs secteurs clés des Alliés et des capitales de l'UE. La solution est dans les deux capitales de l'UE et l'OTAN. Nous avons besoin d'un ferme engagement au plus haut niveau politique d'aller de l'avant cette relation. Et d'aller au-delà de l'étroite coopération de «Berlin Plus». Mais, comme le Président l'a dit Sarkozy, cela n'a pas de sens d'opposer l'UE et l'OTAN contre l'autre. Et j'espère que vous, nos parlementaires, prendra ce message à coeur, et aider à briser l'impasse.

Qu'en est-il de nos activités, l'OTAN a fait ses devoirs: nous devons maintenir l'élan de la transformation militaire. Vous êtes tous conscients des problèmes qui se sont posés en ce qui concerne la Force de réaction de l'OTAN, et nous travaillons d'arrache-pied pour résoudre ces problèmes. Pour moi, que le symptôme d'un problème beaucoup plus fondamental, qui est la réticence de nombreux alliés pour investir dans les capacités nécessaires. Il est clair, et le premier à ne pas réaliser tous les défis en matière de sécurité exigent des solutions militaires, mais compétence militaire reste cruciale pour faire face à nombre d'entre eux. Et c'est pourquoi nous devons maintenir notre militaires de pointe.

Je suis bien conscient, bien sûr, en faisant valoir que ces termes ne peut pas vous faire terriblement populaires à la maison. Mais nous devons faire plus pour rendre le cas pour les capacités militaires. Nous devons faire comprendre à nos opinions publiques, de la difficulté qui peut être de temps en temps que la protection de leur appel à des mesures de sécurité dans nos rues et sur nos frontières - mais qu'il faut aussi parfois prendre des mesures décisives bien loin de ces frontières, et que Nous avons besoin des capacités, afin d'être en mesure de prendre cette action. Je me rends compte que l'argent est court dans tous nos pays, et que la défense n'est pas la manière la plus populaire pour le dépenser. Je continuerai à faire pression pour que le seuil de deux pour cent du PIB pour chacun des 26 Alliés de l'OTAN. Mais je ajouter, nous allons également être plus créatifs en essayant de tirer le meilleur parti de l'argent que nous dépensons. Faisons de l'utilisation accrue des consortiums multinationaux de fournir des outils clés, comme nous le faisons pour répondre à nos besoins de transport stratégique. Et laissez-nous réfléchir à d'autres, de nouvelles approches de financement de nos capacités et de nos opérations.

Mon prochain point: l'élargissement de l'OTAN. Nous nous sommes engagés à Riga d'envoyer des invitations à Bucarest pour les pays candidats qui répondent à nos normes fondées sur la performance, et qui sont en mesure de contribuer à la sécurité euro-atlantique. Nous avons travaillé dur dans le contexte du Plan d'action pour l'adhésion afin d'aider l'Albanie, la Croatie et l'ancienne République yougoslave de Macedonia1 avec leurs préparatifs pour l'adhésion. Comme lors des précédents rounds d'élargissement, la décision de Bucarest sera en fin de compte une décision politique. Et il ya clairement un rôle, voire une responsabilité, pour vous les parlementaires dans ce processus. Mais je suis sûr que la décision d'un élargissement à Bucarest ne sera pas la fin de l'élargissement de l'OTAN -, nous avons également besoin d'examiner les prochaines étapes possibles et de votre contribution à ce débat est essentiel aussi.

Dans le cadre de notre programme politique: nous devons aller de la relation OTAN-Russie en avant. Après une décennie de progrès lents mais solides, il semble que nous ayons est arrivé sur un plateau. Nous ne pouvons pas rester coincé là-bas. Oui, nous savons tous que la Russie est un élément important en période électorale, et quelques-unes des dernières assertif rhétorique pourrait s'expliquer par cela. Mais si le président Poutine a conclu qu'une attitude plus critique envers l'OTAN est préférable de plus en insistant sur la nécessité d'une coopération soutenue, alors quelque chose ne va pas dans les relations OTAN-Russie.

Dans un récent discours, le Ministre des affaires étrangères Lavrov a demandé "une nouvelle définition de l'atlantisme", qui comprendrait également la Russie. Il s'agit d'une intéressante déclaration. Nous devrions dire clairement que nous sommes prêts et disposés à prendre la Russie souhaitent davantage d'intégration au sérieux - mais en même temps, nous devons indiquer clairement que, dans le sens atlantisme Sergey Lavrov a évoqué le dessin n'est pas une question de "lignes rouges". Pour nous, les relations OTAN-Russie ne dispose pas d'un interrupteur où vous pouvez les mettre "on" ou "off" à votre convenance. Pour nous, cette relation a été, est et reste "le" - il s'agit d'un investissement à long terme dans la construction européenne et même la sécurité mondiale.

Et quand je parle de la sécurité mondiale: nous devons renforcer davantage les relations de l'OTAN avec des pays tels que l'Australie, le Japon et la Nouvelle-Zélande. Je suis conscient que certains restent réticents à propos de ces nouvelles relations, et le rôle de l'OTAN en tant que plaque tournante mondiale de coalitions. Certains craignent que cela pourrait affaiblir le caractère unique transatlantique de l'OTAN. D'autres craignent que cela risque de saper le rôle central des Nations Unies. À mon avis, ces craintes sont sans fondement.

Je le répète: une OTAN avec les partenaires n'est pas la même chose qu'une "mondial de l'OTAN», ou un «gendarme du monde». En termes de membres, l'OTAN demeure essentiellement une affaire transatlantique. Il suffit de créer davantage d'opportunités pour les non-membres d'être impliqués. Et, plutôt que de saper l'ONU, je vois de plus en plus surchargé ONU recherchent le soutien de l'OTAN, et les deux organisations sont en train de développer davantage la coopération structurée.

Presque enfin: nous devons prendre beaucoup plus grave regarder ce que j'appelle «les questions de sécurité 21ème siècle". Et le premier qui vient à l'esprit ici est la défense contre les missiles. Face à la prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs, les missiles de défense mérite une douce et neutre d'évaluation. Alliés de l'OTAN ont, il ya quelques jours d'accord sur une évaluation de la menace, ainsi que par le moment de notre Sommet de Bucarest, notre objectif devrait être d'avoir un consensus clair sur la voie à suivre.

Nous devons aussi nous engager dans une discussion beaucoup plus approfondie sur la sécurité énergétique. Nous avons commencé à regarder là où l'OTAN pourrait "valeur ajoutée" à d'autres efforts de la communauté internationale dans ce domaine. Et je crois que pourraient inclure la protection des infrastructures énergétiques essentielles, la formation, les exercices et le partage des évaluations des risques et le renforcement de "domaine maritime sensibilisation» en employant les forces multinationales maritimes tâche. Et j'ai l'intention de porter un débat sur la dimension nordique à la table de l'OTAN.

Un autre «défi 21e siècle" est le cyber-défense. Les cyber-attaques sur l'Estonie il ya quelques mois a montré que de nombreux experts nous ont dit depuis longtemps: que le cyberespace est devenu une sorte de champ de bataille de paix. Dans le cas de l'Estonie, de tout ce que nous pouvions faire était d'envoyer des experts dans le pays. Mais que ferions-nous si une attaque de ce genre sur une échelle plus vaste? Et si elle doit entraîner non pas un seul, mais plusieurs de nos pays? Je ne peux pas vous donner la réponse exacte, mais nous devons collectivement chercher un.

Enfin: la diplomatie publique. Manifestement, l'OTAN est devenue une institution polyvalente qui peut tout simplement ne plus être expliqué avec un seul slogan. Mais avec l'OTAN opérationnelle du spectre allant de la formation à combattre à l'aide humanitaire, et avec notre coopération toujours plus étroite avec les pays partenaires et d'autres institutions, tant il est de plus en plus difficile, et plus important encore, pour nos opinions publiques à comprendre pourquoi l'OTAN est unique -- Et vital pour leur sécurité.

A mon sens, faire passer ce message à nos opinions publiques sera un défi clé de diplomatie publique dans les prochaines années. Il sera particulièrement important de gérer les attentes des citoyens au sujet de nos activités - afin d'expliquer les dangers qu'implique le caractère à long terme de beaucoup de nos engagements, et les critères de référence pour la définition de la réussite. Et il ya un rôle très important pour les parlementaires à jouer dans cet effort.

Comme vous le savez, j'ai parlé à de nombreuses reprises sur la nécessité de revoir le Concept stratégique de l'OTAN. Indépendamment d'autres avantages, notre travail diplomatique serait certainement bénéficier d'une nouvelle explication de la raison pour laquelle l'OTAN est unique, pourquoi et où elle est en train de transformer, et comment elle prévoit de s'attaquer à la base des problèmes de sécurité d'aujourd'hui et de demain. Je ne sais pas si nous serons en mesure de mettre ce travail en train à Bucarest l'année prochaine, mais je pense que le moment est venu de commencer à préparer le terrain pour un mandat lors du prochain sommet, en 2009. Et nous aurons besoin de votre soutien sur cette question ainsi que les autres que j'ai soulevées.

Mesdames et Messieurs,
Chers Amis,

Je vous ai donné une assez longue liste de domaines où nous devons progresser - à la fois en vue de Bucarest, et au-delà. Il s'agit d'un programme ambitieux, certes. Il aura besoin de tous les alliés à faire preuve d'un sens aigu de but, pas moins vis-à-vis de nos opinions publiques. Et c'est pourquoi, comme je l'ai dit au début, vous êtes tous les actionnaires de cette Alliance - non seulement avec le droit de faire des observations et donner des conseils, mais aussi avec la responsabilité de faire progresser notre ordre du jour avant. Vous avez tous un rôle vital à jouer dans le maintien de sa cohésion et de l'efficacité - et à préserver sa crédibilité. Il est notre meilleur atout face aux défis de sécurité d'un monde globalisé. Je ne peux quitter cette tribune sans donner de mots de remerciements à Simon Lunn. Je tiens à rendre hommage à Simon de Secrétaire général de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN, de votre expérience et de conseiller a été et sera très précieuse pour l'Assemblée parlementaire et de l'OTAN dans son ensemble.

Many thanks. Et, Mesdames et Messieurs, Je vous remercie de votre attention.

1. La Turquie reconnaît la République de Macédoine sous son nom constitutionnel.

lundi, octobre 01, 2007

53ème SESSION ANNUELLE DE l'AP-OTAN


53ème SESSION ANNUELLE DE l'AP-OTAN REYKJAVIK, ISLANDE 5-9 OCTOBRE 2007

L'Islande accueillera la 53ème session annuelle de l'AP-OTAN à Reykjavik du 5 au 9 octobre 2007, réunissant ainsi quelque 340 parlementaires venant d'Europe et d'Amérique du Nord.

La session plénière, mardi 9 octobre, sera ouverte par le président de l'AP-OTAN, José LELLO, Sturla BÖDVARSSON, le président du Parlement islandais et Geir HAARDE, Premier ministre d'Islande. Prononceront également une allocution, le Secrétaire général de l'OTAN, M. Jaap DE HOOP SCHEFFER et le Premier ministre d'Albanie, Sali BERISHA.

Les cinq commissions de l'AP-OTAN (politique, défense et sécurité, sciences et technologies, dimension civile de la sécurité, économie et sécurité) se réuniront le samedi 6 et le dimanche 7. Plusieurs personnalités de haut rang viendront y prendre la parole.

Le déploiement prévu, en Pologne et en République tchèque, d'éléments d'un système de défense américain contre les missiles balistiques, les relations de l'OTAN avec la Russie et le future statut du Kosovo seront au centre des débats.

La Session de l'AP-OTAN sera également consacrée aux questions principales de l'agenda de l'Alliance, à savoir plus particulièrement, les opérations en Afghanistan, la transformation de l'OTAN, les relations avec les pays partenaires, la gouvernance démocratique dans la région de la mer Noire, la coopération opérationnelle entre l'OTAN et l'Union européenne et le débat sur le partage des charges de l'OTAN.

Parce qu'elle rassemble des parlementaires venus des quatre coins de l'Alliance atlantique, l'Assemblée parlementaire de l'OTAN forme depuis un demi-siècle un lien essentiel entre l'OTAN et les assemblées législatives des pays membres de celle-ci et contribue à l'édification d'un consensus parlementaire et public autour des politiques alliées.

En même temps, elle a introduit plus de transparence dans la politique de l'OTAN, a aidé les milieux parlementaires à prendre conscience de questions de sécurité d'une importance majeure et à les comprendre. Par ailleurs, elle a joué un rôle crucial dans la préservation et la consolidation de la relation transatlantique qui sous-tend l'Alliance.

Depuis la fin de la Guerre froide, l'Assemblée assume de nouvelles fonctions en associant à ses travaux les parlementaires de pays d'Europe centrale et orientale - et au-delà - qui désirent se rapprocher de l'OTAN. Cette démarche apporte une assistance politique et pratique et va dans le sens d'un affermissement de la démocratie parlementaire dans toute la région euro-atlantique, complétant et consolidant les programmes de partenariat et de coopération de l'OTAN.







lundi, avril 16, 2007

Consultation UE-OTAN à Bruxelles au siège du Conseil de l'UE




Le Conseil atlantique du nord de l'OTAN et le Comité politique et de sécurité de l'Union Européenne se sont réunis pour discuter des issues d'intérêt commun le 26 mars 2007. Ceci a inclus la situation en Bosnie et Herzégovine, le futur statut du Kosovo et l'Afghanistan, y compris les effortsmenés par l'UE de former la police afghane.


Le sécrétaire général de l'OTAN, Jaap de Hoop Scheffer et le haut représentant de l'UE pour la politique commune étrangère et de sécurité, Javier Solana, ont conjointement répondus aux questions de la presse à la fin de leur rencontre , incluant des réponses sur le Kosovo et la défense par des missiles.

Le SHAPE est depuis 40 ans à Mons (Belgique)

Jour de l'Ouverture,en 1967,du SHAPE à Mons(Belgique)


Le commandant allié suprême enEurope, Gén. John Craddock, s'est adressé à son personnel et invités les présents à ecouter l'histoire et les accomplissements du SHAPE. Le Gén.. Craddock a également utilisé cette occasion pour honorer 15 employés de longue date qui ont 40 ans de service continu au SHAPE.
L'OTAN et le SHAPE se sont déplacées en Belgique en 1967 parce-que la France avait décidée de se retirer de la structure militaire intégrée de l'OTAN.
L'OTAN avait reçu des offres de plusieurs nations pour accueillir les sièges de l'OTAN et du SHAPE et toute autre commandement de l'OTAN qu'eu été en France. L'OTAN a déterminé que ses sièges searait placé à Bruxelles, Belgique, et que le SHAPE replacerait une base militaire belge appelé Camp Casteau près de la ville de Mons.
Il y avait une certaine discussion pour déplacer le SHAPE à Bruxelles pour être plus près des sièges de l'OTAN, mais du milieu des années 60 concernent qu'un conflit militaire pourrait mener à l'optimisation du SHAPE a mené le gouvernement belge à chercher un secteur rural paloin des centres habités. Le SHAPE a dû être opérationnelle en seulement 6-1/2 mois. Dans ce temps, les bâtiments de sièges sociaux, les équipements de support, et les logements ont été construits. Le ritme de travail était implacable - sept jours par semaine jusqu'à ce que les équipements aient été accomplis. l'"OTAN a évolué du maintien statique et défensif qui était approprié à 1967 et s'est montrée pour être l'alliance militaire la plus réussie dans l'histoire. Nous avons vu les changements radicaux - non seulement dans le SHAPE mais dans le monde au delà des barrières. Le mur de Berlin n'existe plus ; le pacte de Varsovie est dissous. Plusieurs de ses anciens membres sont maintenant, comme nous savons des membres de l'OTAN. Nous avons été témoin de la croissance de l'OTAN même pendant que notre monde s'est développé . Aujourd'hui, nous opérons trois continents avec plus de 50.000 membres de service déployés. Le plus notamment, dans notre force d'aide de sécurité internationale (ISAF) en Afghanistan, mais également dans la force de Kosovo, la formation Mission-Irak de l'OTAN, l'effort actif d'opération dans le maintien de l'ordre méditerranéen et baltique d'air et l'aide à la mission africaine au Soudan, "le SACEUR a continué. la "FORME est une force d'entraînement derrière l'OTAN et l'effet extrêmement positif qu'elle a eu dans le monde. C'est une maison aux membres de service et aux civils consacrés, tous les professionnels, travaillant ensemble vers un but commun : la sécurité et la stabilité pour tous de nos nations de l'OTAN, ou comme nouvelle limite décrit, sécurité collective, "le Gén. Craddock a dit. "rappelons-nous ce jour, il y a 40 ans , quand ces portes se sont ouvertes la première fois. Et travaillons avec intérêt dans les prochaines années pour préserver la paix içi au SHAPE."

Visite des Membres de l'Assemblée Parlementaire de l'OTAN au SHAPE

Le 19 février 2007 L'Assemblée Parlementaire de l'Otan rend visite au SHAPE à Mons (Belgique).
L'Assemblée Parlementaire de l'OTAN est une organisation interparlementaire qui est complètement indépendante de l'OTAN mais qui constitue un lien entre les parlements nationaux et l'alliance atantique. Les parlementaires ont été reçu la bienvenue de Mr. Covington, conseiller d'affaires internationales à SACEUR. Dans la deuxième partie de leur visite les parlementaires sont allés au centre d'Eisenhower, situé dans le bâtiment principal, pour une réunion avec J. Craddock Général, commandant allié suprême enEurope. Les voici qui ont reçu un briefing sur 'ACO (Commandement Opérationnel Allié) aujourd'hui et le futur. Le Général principal Stein, sous-chef des opérations , a présidé à la période de questions et de réponses après le briefing.

lundi, mars 26, 2007

Décerné le prix 2007 de l'Otan pour la science


Le prix de l'association de la Science de l'OTAN pour 2007 a été attribué à deux scientifiques du Kazakhstan et du Royaume-Uni pour l'excellente collaboration dans le projet de paix Science OTAN .
Pendant la cérémonie de récompense, tenue aux sièges ,à Bruxelles,de l'OTAN,le 22 mars,le professeur Mukash Burkitbayev de Kazakhstan et le professeur Nick Priest du Royaume-Uni ont reçu le prix 2007 pour leur projet coopératif évaluant la contamination radioactive à l'emplacement d'essai nucléaire à Semipalatinsk, au Kazakhstan.
Le prix a été présenté aux gagnants par , l'Ambassadeur Minuto Rizzo de l'OTAN, qui s'est dirigé à la valeur de ce projet comme bon exemple de l'excellence dans la coopération pour laquelle le prix est attribué.
Le laboratoire radiologique de haute qualité qui a été installé sous ce projet à l'université nationale kazakh de Farabi d'Al dans Almaty, fournit au pays des possibilités nécessaires pour analyser des risques de rayonnement. Le professeur Burkitbayev etle professeur Priest ont travaillé ensemble extrêmement bien en conduisant une activité exigeante.Chacun se dirige vers le haut d'une équipe de scientifiques qui ont travaillé ensemble étroitement en conduisant la recherche. Le projet de l'OTAN a été une aide en établissant et en augmentant ces équipes au Royaume-Uni et Kazakhstan et en les rendant plus efficaces, en vue d'établir un réseau international. Le prix se compose d'une concession €10,000 à chacun des gagnants pour soutenir leurs autres recherches, accompagné dun certificat officiel etd' un trophée en cristal spécial.

jeudi, mars 22, 2007

Visite historique du Premier Ministre du Japon,Mr. Shinzo Abe au siége de l'Otan



Aujourd'hui,12 janvier 2007, le Premier Ministre japonais ,Abe, a fait une visite historique aux sièges de l'OTAN, le premier par un chef de gouvernement japonais. Le premier ministre a tenu la première fois une réunion bilatérale avec le sécrétaire général, et a ensuite rencontré le Conseil atlantique du nord. L'intérêt du Japon est exprimé par Abe d' établire une association plus forte avec l'OTAN, politiquement et en pratique -- un intérêt fait écho et accueilli par l'alliance. L'OTAN a également fait bon accueil à l'annonce du
Premier Ministre Abe que le Japon augmenterait son rôle déjà substantiel en Afghanistan en soutenant directement les équipes provinciales de la reconstruction de l'OTAN, par exemple dans les secteurs de l'aide humanitaire. Toutes les parties ont convenu que l'OTAN et le Japon partagent un intérêt pour une coopération plus profonde de défendre des valeurs partagées dans un monde où les menaces de sécurité -- telles que la menace posée par le missile du nord et les programmes nucléaires de la Corée -- sont transnationales .



Discours du Premier Ministre, Mr. ABE,au Conseil de l'Otan.





Monsieur le Sécrétaire Général, merci de votre accueil chaleureux.
Vos excellences les ambassadeurs, les mesdames et les messieurs.
Il est avec grand plaisir et un sens profond de l'histoire que je viens ici en tant que Premier Ministre japonais pour m'adresser au Conseil atlantique du nord, étant également le premier chef de gouvernement japonais à venir après la deuxième guerre mondiale.
Au départ, permettez-moi d'énoncer quelque chose qui est art de l'auto-portrait-evident : Le Japon est prêt à effectuer ce qui est exigé de lui au niveau international. Et, ce faisant, le Japon doit identifier les meilleures synergies avec les associés semblables autour du globe.

Excellences, Mes félicitations sont dues pour le succès du sommet à Riga.
Je fais bon accueil à l'engagement des chefs de l'OTAN pour augmenter des liens avec les démocraties non-OTAN, telles que le Japon. Le Japon et l'OTAN sont des associés. Nous avons en commun des valeurs de principe fondamentaux telles que : la liberté, la démocratie, les droits de l'homme et la règle de la loi. Il est seulement normal que nous coopérions à protéger et à favoriser ces valeurs. Mon gouvernement est investi pour renforcer la stabilité et la prospérité du monde basé sur les valeurs fondamentales que j'ai juste mentionnées. Pour sa part, l'OTAN élargit le cercle de la liberté par une expansion d'adhésion et d'associations. Le Japon et l'OTAN partagent un bon sens de la responsabilité vers des défis globaux. Nous devons maintenant travailler ensemble plus que jamais en partageant nos possibilités, car nous travaillons pour consolider la paix face au conflit.
Pendant la décennie passée, le Japon a entrepris des activités de coopération de paix dans les endroits divers comprenant le Cambodge, la Mozambique, le Timor est, l'Océan Indien et l'Irak. Nous avons également conduit des efforts de soulagement de désastre au Pakistan, fonctionnant côte à côte avec les forces de l'otan. Depuis le premier ministre devenant, j'ai dit clairement aux japonais que mon gouvernement développera et effectuera une politique étrangère proactive, et que le Japon devrait jouer un rôle signicatif au niveau globale.
Dans cette approche, le Japon est désireux de collaborer avec l'OTAN, construisant un sentiment de confiance.
Il y a juste trois jours, j'ai élevé l'agence de la défense du Japon à un ministère au pair avec d'autres ministères centraux. Le nouveau ministère de la défense est prêt à accomplir ses fonctions et à accorder la priorité élevée de paix d'activités internationales de coopération à côté de la défense nationale. Maintenant, mon administration discute la meilleure forme de coopération internationale de paix, y compris un cadre juridique général pour la participation des forces du Japon art de l'auto-portrait-defense et du personnel civil. Tout en adhérant aux principes de la constitution, le Japonais ne lancera plus loin des activités d'outre-mer de mise en oeuvre impliquant le SDF, s'il est pour la paix et la stabilité internationales. Il est dans cet esprit que le Japon a engagé dans des opérations de SDF en Irak et dans l'Océan Indien. Malgré nos efforts vigoureux, il y a certains endroits où nous devons encore atteindre nos buts. Profondément à mon coeur je penserai toujours à ces membres de famille qui ont perdu les leurs ont aimé ceux tout en exécutant leurs missions.
Pour ce qui concerne l'Afghanistan, je me rends compte des obstacles qui doivent être surmontés. Toujours, je continuerai à donner à mes citoyens japonais de camarade un message très simple : Le Japon investit à l'avenir de l'Afghanistan parce que sa stabilité est essentielle au Japon et le monde.
Dans l'Océan Indien, les navires maritimes japonais de force de art de l'auto-portrait-defense avaient fourni le carburant à la liberté durable en fonction participante de pays, y compris neuf Etats membres de l'OTAN. Le Japon a donné 1.1 milliard de dollars d'USA pour l'aide de reconstruction. Nous avons fourni Kaboul, Kandahar et Bamian, pour appeler quelques uns, avec des centaines de salles de classe. Nous faisons ceci parce que nous savons que chaque école que nous reconstruisons est un autre rayon d'espoir pour les enfants de l'Afghanistan. La force et le Japon d'aide de sécurité internationale ont combiné des ressources pour réintégrer dans d'anciens soldats afghans de la vie 60.000 civils. Chaque père qui retourne à la maison en conséquence est une balise d'espoir pour les familles afghanes. Nos prochains chargent doivent démanteler les milices illégales de plus de 125.000 combattants.
Je suis d'accord entièrement avec beaucoup de ce que le sommet de l'OTAN Riga a déclaré, et partage votre avis qu'il ne peut y avoir aucune sécurité en Afghanistan sans développement. Je partage également votre opinion sur la nécessité d'augmenter la collaboration entre l'OTAN et ses associés, y compris le Japon. Sur cette base, je voudrais réaffirmer l'engagement plein du Japon en Afghanistan. D'abord, nous mettrons en application davantage d'aide équivalente à 300 millions de dollars d'USA pour accomplir notre engagement fait à la conférence de Londres. Ce doit soutenir la stratégie afghane de développement national, dans les secteurs tels que la construction de route et d'aéroport aussi bien que le développement agricole. En second lieu, nous augmenterons l'aide dans le secteur de la sécurité. Travaillant étroitement avec l'OTAN, nous effectuerons vigoureusement la lutte aux groupes armés illégaux. Nous mettrons également l'accent sur la réalisation de forces afghanes de police. Troisièmement, nous intensifierons la coopération avec les activités humanitaires des équipes provinciales de la reconstruction de l'OTAN.
Mon gouvernement recommande fortement le rôle important que PRTs jouent dans des régions éloignées de l'Afghanistan. Le Japon explorera plus plus loin des synergies plus profondes entre nos activités d'aide et ceux menées par PRTs dans des secteurs tels que l'éducation de base, aussi bien que la santé médicale et. À cette fin, le Japon participera activement au groupe de contact sur l'Afghanistan, dont l'établissement a été proposé au sommet de Riga. Quatrièmement, nous jouerons un plus grand rôle dans le combat contre des narcotiques et le terrorisme en renforçant les possibilités de commande de frontière du gouvernement afghan, en collaboration avec l'Allemagne, des ETATS-UNIS et de l'EU.

Excellences, dans le monde d'aujourd'hui, des situations d'un côté du globe peuvent facilement être attachées aux développements de l'autre. C'est sur cette base que nous avons un souci concernant les situations dans les pays tels que l'Iran, le Soudan, l'Afghanistan et l'Irak, pour appeler juste quelques uns. Je crois que c'est également la raison que votre organisation a pris la question de l'essai nucléaire du nord de la Corée, qui est étroitement lié à l'issue nucléaire de l'Iran. Le régime coréen du nord a lancé les missiles ballistiques et a d'airain déclaré qu'il a effectué un essai nucléaire. D'ailleurs, il a également enlevé un certain nombre de citoyens innocents du Japon, y compris puis une écolière 13-year-old. L'essai nucléaire du nord de la Corée constitue une menace grave non seulement à la paix et à la sécurité du Japon mais également à celle de l'Asie de l'Est et de la communauté internationale entière. C'est également un défi sérieux au régime de non-prolifération. Dans un mot, il est totalement inacceptable. Je crois que cette identification est partagée dans le monde entier : Le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté à l'unanimité la résolution 1718 en réponse à l'acte audacieux de Pyong Yang. Cette résolution énumère les mesures que tous les Etats membres doivent effectuer vis-à-vis de la Corée du nord. Afin d'inviter la Corée du nord à abandonner tous les armes nucléaires et programmes nucléaires existants, tous les pays doivent mettre en application la résolution d'une façon concertée. À la dernière session des six entretiens de partie, la Corée du nord n'a montré aucune intention de jeter ses ambitions nucléaires et a refusé d'entrer dans des discussions substantives. Par conséquent, le besoin de mettre en application la résolution est maintenant plus grand que jamais. Le Japon a pris des mesures strictes sur notre propre initiative et selon des résolutions appropriées du Conseil de sécurité de l'ONU. En raison de telles mesures, le Japon des échanges interdit maintenant ou sévèrement de limite ou des transactions avec la Corée du nord en termes de commerce, des transactions financières, transport et mouvement des personnes. J'invite les pays membres de l'OTAN également pour prendre des mesures concrètes . La question des abductions par la Corée du nord est une violation grave des droits de l'homme de base et doit également être adressée conjointement par la communauté internationale. De ce point de vue, je fais bon accueil à l'adoption de la résolution concernant la situation des droits de l'homme en Corée du nord à l'Assemblée générale de l'ONU. Nous avons avec succès coopéré avec les pays membres de l'OTAN vers son adoption, et je voudrais exprimer ma satisfaction pour ceci. Quelques déserteurs et abductees coréens du nord ont témoigné à avoir vu quelques victimes de l'abduction des pays européens. J'invite tous les pays membres de l'OTAN pour inviter la Corée du nord à prendre des mesures sincères vers la résolution de cette issue. Dans quelques jours, je voyagerai aux Philippines pour m'occuper du deuxième sommet de l'Asie de l'Est. La région asiatique subit le changement dynamique, et le Japon est commis à jouer un rôle proactif en favorisant la croissance et la stabilité régionales.
l'Asie de l'Est, Chine nous présente de grandes occasions toutes. Nous identifions entièrement le rôle responsable à jouer dans la région par la Chine. J'étais d'accord avec les chefs chinois pendant ma visite là en octobre que nos nations doivent établir un rapport mutuellement salutaire basé sur des intérêts stratégiques communs. Nous devons comprendre, cependant, qu'il y a quelques incertitudes entourant la Chine, telle que ses dépenses de défense croissantes et manque continu de transparent. Nous devons prêter une attention particulière au futur de cette nation. Et nous devrions continuer à avoir le dialogue avec le gouvernement chinois pour la responsabilité accrue qu'il peut partager avec nous, pour améliorer l'environnement régional de sécurité. Les associés partageant des valeurs fondamentales devraient augmenter la coopération à cet effet.
Le Japon et l'OTAN devraient maintenant se déplacer dessus à une nouvelle phase de coopération. Sous ma conduite, le gouvernement du Japon a déjà commencé à étendre le fond pour de futures relations augmentées avec l'OTAN. Il y a pièce suffisante pour que nous combinent la notre connaissance et expérience pour aider dans les secteurs tels que le bâtiment de paix, la reconstruction et le soulagement de désastre. En effet, les membres de mon coffret et leur personnel attendent avec intérêt de rencontrer leurs contre-parties de l'OTAN de façon régulière. Ils sont également désireux de participer activement aux réunions de consultation de l'OTAN sur des secteurs spécifiques d'intérêt commun. Je crois que le prochain rond des consultations du niveau la Japon-OTAN élevé prévues en mars à Tokyo sera une bonne occasion d'établir nos plans pour davantage de coopération. Excellences, Je voudrais conclure par le rappel de tout vous de notre devoir vers de futures générations. Nous devons élever la démocratie dans les endroits où elle émerge ; consolident le respect pour des droits de l'homme où il est supprimé ; et espoir d'offre pendant un futur plus lumineux dans les situations où les gens rapportent au désespoir. Notre but est de créer un monde plus sûr où chaque individu peut vivre avec fierté. Pour faire à ce but une réalité, nous devons être bâti dynamique, et jamais de crainte outre des dispositifs d'accrochage du dogme que nous avons longtemps pris pour accordé. Mon pays est prêt à répondre aux espérances se levantes du monde pour notre rôle augmenté dans la communauté internationale.
Ma vision de noyau pour le futur Japon est "un beau pays" qui est ouvert de monde et prépare pour relever les défis qui viennent à notre rencontre. Sous mes conseils, le Japon continuera à avancer un programme des réformes et des initiatives pour réaliser cette vision. Le travail qui se trouve en avant est simplement trop grand pour permettre le Japon et l'OTAN le luxe de prendre différentes voies. Bâtir sur nos efforts passés, nous devons travailler ensemble pour assurer un futur paisible et sur.
Merci infiniment de votre attention aimable.

mercredi, mars 21, 2007

Nouveau commandant de l'ISAF à Kaboul



KABOUL, Afghanistan (4 février) - Gen. Dan McNeill a assumé le commandement de l'ISAF en présence de président Hamid Karzai, pendant un changement de cérémonie de commande ce matin au QG ISAF. Le passage du fanion symbolique d'ISAF du Général Richards au Général McNeill, flanqué d'une garde d'honneur d'ISAF, a marqué le changement du commandement. Une fois son nouveau rôle assumé , le Général McNeill a félicité les efforts du Président Karzai et du Général Richards et a réaffirmé l'engagement de l'ISAF pour faciliter la reconstruction de l'Afghanistan.